Lux

Mais je n'ai aucune envie de voir des gens complétement fou! Ho... mais il n'y a rien à fair. Tous le monde est fou ici... Vous aurez peut etre remarqué...que je n'ai pas... toujours... toute ma tete! Hahahahaha

Mercredi 8 décembre 2010 à 22:59

Quand j'avai 16/18 ans j'étai très malade, une maladie qui touche le coeur et la tête.
Une maladie qui touche l'âme aussi, qui fait des ravages, et qui laisse des séquels à vie.
Une maladie mortel dans certains cas. Une maladie qu'on appel "La depression"

J'ai rencontré des gens atteind d'un mal semblable au mien. certains on eu la chance d'aller dans un hopitale ou l'on tente de soigner ce type de maux.
Je suis aller voir des amis là bas, et je les enviais car ils allaient s'en sortir.
J'ai demandé a ma mere de signer les papiers pour etre hospitalisé quelques mois.
"Surment pas Lux! Ya que les fou qu'on enferme dans les asils"
Alors je me suis enfoncé dans la dépression encor et encor et de plus en plus profondément.
Ca fesai longtemp que je n'avai plus la tête hors de l'eau. J'étai completement immergé.
Je me voyais mourir petit à petit.
j'avai l'impression que le monde autour de moi allai trop vite, que j'étai en suspention dans le temps.
Je voulai mourir. J'ai jamais tant désiré quelque chose qu'à cet époque, de mourir.
J'ai vu mes envis me quitter. Je me suis vu tourner le dos a la vie.

Je me souvien d'un jour, il y avai du soleil, et malgrés mes efforts, je n'arrivais pas à essquisser le moindre sourire, car j'avai oublier le sens de se geste
Je me souvien de ma mere qui pleurai toute seule dans la cuisine quand tout le monde étai couché.
Et des gens qui me lancaient ce petit sourir géné et cet aire navré que je deteste tant.
Je me souvien aussi d'avoir haï le monde entier avant de l'ignorer.
Et je me souvien d'un soir ou tout étai clair, je me suis senti bien, plus de poid sur le coeur, je m'en fichai de tout et du sort de tout le monde.
Et à cet instant precis, dans ma tête, je suis morte en quelque sorte, car y avai plus de pensées, plus d'envi, plus rien. Je savai que c'étai fini.

Le matin trés tot, il fesait froid et brumeux, le soleil n'étai pas encor levé. Je me suis allongé sur les rails de chemins de fer.
Je voulais surtou pas être obliger de recommencer, alors le train, sa me paraissai bien.
J'ai attendu, longtemp, il fesai trés froid, et j'ai fini par sentir les rails vibrer, j'entandai le train approcher, enfin...
J'ai fermer les yeux et il a fait noir. Noir et froid. Et je me suis dis: "Et si c'était comme ça là bas? Et si en faite la punition de ceux qui se sucide c'ést d'être seul dans le noir à tout jamais?"
Et là j'ai ressenti quelque chose que j'avai pas resenti depuis longtemp: de la peur. Non non, de la terreur plutôt.
J'ai ouvert les yeux et je voyais les phares du train au loin se raprocher a grand pas.
J'ai senti mon coeur s'embaler... "Et si c'etai pire apres?" Je me suis relever inextremiste, et j'ai sentit un courent d'aire glaciale dans mon dos, caresse de la mort...
Je me suis retourné et j'ai regardé le train passer en me disan que mon assassin n'étai pas passer loin.

Ensuite je suis rentré chez moi, et pendant une semaine j'ai reflechi a ce qui s'etai passer et aux gens que j'avai connu et qui sont mort...
Apres cette semaine j'ai decidé de partir aux états unis. Je me suis dit qu'il fallai que je vois autre chose avant de me dire que le monde étai pouri.
Ma mere m'a laisser y aller, bizarement. J'ai trés peu de souvenir entre ce moment là et mon depar pour l'arizona.
Tout ce que je sais c'est que ce qui ma sauvé la vie, c'est que j'ai eu la trouille de creuver. De n'avoir aucun controle sur ce qui allais m'arriver apres.
Aujourd'hui je ne veux plus mourir. Pourquoi? Parceque j'ai toujours la trouille. D'être seule dans le noir. Mais je ne suis pas guerri pour autant.

Par la suite j'ai rencontré quelqu'un qui avait vecu à peu pres la meme chose, quelqu'un qui avai l'air guerri, quelqu'un qui ma redonner espoir.
J'ai vraiment cru qu'on pouvai s'en sortir lui et moi.
Mais, il y a quelque temps on m'a annoncé qu'il c'est sucidé chez lui...
Ca m'à vraiment démolie d'apprendre ça, de savoir qu'il cachai sa trisstesse, qu'il la gardai pour lui...
Et j'ai penser à ma famille, mes amis. Je me suis demandé comment ils me voyaient, et s'ils croient vraiement que je suis soigné et heureuse...

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